A Propos
Pendant 20 ans, j’ai travaillé au cœur de l’appareil d’État.
J’y ai vu des politiques publiques sans boussole, des décisions empilées sans vision d’ensemble, des objectifs flous — ou oubliés.
Souvent, il suffisait de poser une question simple pour que tout bloque :
Quel est le vrai problème qu’on essaie de résoudre ?
Ce que j’ai appris
Le problème n’était pas le manque de compétences.
C’était l’absence d’un cadre pour penser.
On agit dans l’urgence, sans recul.
On additionne les mesures, sans relier les enjeux.
On confond complexité et confusion.
Ce qui manque ? Une pensée capable de faire des liens. Une vision capable de dépasser les silos.
J’ai vu des réformes se heurter au réel faute d’avoir anticipé les interdépendances sociales, symboliques ou économiques.
Et trop souvent, ce déficit de pensée produit de la défiance, de la perte de sens et du désengagement.
Ce qui m’a permis de tenir
Pas la culture « brillante » ou académique.
Mais celle qui aide à structurer la pensée, à poser les bonnes questions, à cartographier les tensions plutôt que les fuir.
La culture générale comme outil de lucidité.
Et la pensée critique comme boussole pour naviguer dans la complexité.
Je me souviens d’une commande de note lorsque j’étais en activité dans une structure publique : mesurer les effets du conflit en Ukraine sur le tissu des TPE-PME françaises.
Une telle commande ne pouvait être pertinente qu’en articulant les conséquences économiques, géopolitiques, sociales et humaines d’un tel événement.
C’est ce qui fait toute la différence entre compiler de l’information… et produire de la compréhension.
Ce que je propose chaque semaine
J’ai créé CGPC – Culture Gé Pour Comprendre pour transmettre cette approche.
Chaque semaine, je publie des contenus rigoureux, structurés et activables pour :
- Clarifier un concept fondamental pour lire l’actualité autrement
- Relier les idées aux tensions concrètes (lois, discours, pratiques)
- Développer un regard critique, calme et cohérent
Le premier thème traité aborde le fameux « contrat social ».
Trop souvent mobilisée sans définition claire, cette notion mérite d’être réexplorée : comprendre ses origines, ses tensions internes, et ce qu’elle permet encore de penser face à la crise démocratique contemporaine.
Une promesse simple
CGPC, c’est une boussole intellectuelle.
Pas pour briller.
Pour agir.
Parce que penser mieux, c’est aussi débattre mieux. Je crois à l’intelligence collective.
Ensemble, on comprend plus loin, on agit plus juste.
Bienvenue à celles et ceux qui veulent penser sans cloison.
Agir sans simplisme.
Et construire des idées qui tiennent debout.